MES ACTIVITÉS pêche à L’HONNEUR.

En décembre 2024, la revue IGESA et vous mettait mes activités à l’honneur. En février 2025, me voici à nouveau dans la presse.

Jacky Marquet, ancien président de la fédération départementale de pêche de l’Indre-et-Loire m’a dit un jour que mes activités pourraient bien intéresser la direction du journal La Nouvelle République (37). Il me dit alors qu’il allait transmettre mes coordonnées au journal.
Il a fallu que je sois assez patient, c’était en effet le 23 décembre. J’ai donc attendu sans me formaliser. Fin janvier, j’ai reçu un appel pour me demander si un rendez-vous était possible pour parler de mes activités au profit des blessés psychiques de nos armées.

Très content d’avoir été contacté, je n’ai pas hésité et accepté un rendez-vous. L’entretien à la NR s’est très bien passé. Un journaliste pêcheur à la mouche qui me questionne, ça met effectivement en confiance!

Olivier Brosset, le journaliste qui m’a reçu, a également transmis l’article à la NR 41. « l’article paraîtra dimanche 09 février » m’a-t-il dit. Sauf que la NR 41 a été plus prompte à publier l’article. A l’honneur en page 2! Et demain dimanche, je retrouverai l’article dans l’édition de l’Indre-et-Loire.

La Nouvelle République du Loir-et-Cher vient donc de consacrer un article à mon activité d’accompagnement par la pêche. L’article met en lumière mon travail auprès des anciens militaires et des maisons ATHOS. Cette reconnaissance médiatique souligne la pertinence de mon approche qui associe la pêche au processus de reconstruction.

En tant que moniteur guide de pêche et ancien officier, j’ai développé une approche basée sur la pratique de la pêche. Cette activité, par nature apaisante, favorise la patience et la concentration. Les séances de pêche permettent aux participants de se reconnecter avec un environnement naturel apaisant, tout en apprenant ou redécouvrant des gestes techniques précis.

Mon engagement auprès de la maison ATHOS d’Auray s’inscrit dans une démarche globale d’accompagnement des militaires. Ces séances de pêche, sans être formellement intégrées au parcours de soins, offrent un cadre différent et complémentaire aux autres activités thérapeutiques que les maisons ATHOS proposent.

Cet article de La Nouvelle République met en avant l’importance des approches alternatives dans l’accompagnement des militaires. Il valide également mon engagement auprès de mes camarades en reconstruction.

Je vais poursuivre mes actions avec la même conviction, convaincus que la pêche constitue un véritable outil de reconstruction et de retour à la confiance.


Article paru dans La Nouvelle République du Loir-et-et-Cher le 8 février 2025

J’espère qu’une conséquence sera d’inciter des militaires ou anciens militaires à franchir le pas pour se manifester et rejoindre la cohorte des membres des maisons ATHOS.

Et si d’aventure, des militaires ou des vétérans, qui ne sont pas diagnostiqués SPT veulent profiter de séances de pêche pour eux ou leur famille, je les accueillerai aussi!

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